Les Vikings étaient en réalité des martiens transgenres!
Depuis peu, une vague de mensonges s'abat sur l'identité des Vikings. A partir de mi-septembre un nombre important de médias ont publié des articles en réaction aux travaux de l'Université de Copenhague dont les récentes études mettent en avant une certaine diversité au sein du patrimoine génétique en Scandinavie. Sans plus attendre, tous les médias bien-pensants se sont jeté sur cette étude pour servir la cause cosmopolite. Que ce soit chez le Huffington Post, Sud Ouest ou bien Science et Avenir, les journalistes ont uni leurs forces en écrivant des articles qui tenteront de nous faire croire que "tous les Vikings n'étaient pas blancs".
En réalité, les chercheurs ont séquencé l'ADN de 442 fragments d'ossements humains provenant de Scandinavie et de l'époque des Vikings c'est-à-dire entre le VIII° et le XII° siècle. L'étude précise bien qu'il existe un patrimoine génétique commun et propre aux Scandinaves. Elle révèle également qu'il y a eu un brassage entre les populations Suédoise, Danoise et Norvégienne. Par conséquent, si diversité il y a eu, c'est parmi le patrimoine génétique commun aux Scandinaves.
Aussi, on peut noter que les Vikings étaient des voyageurs, des navigateurs et des explorateurs. Ils ont donc eu, à plusieurs occasions, l'opportunité de se mélanger aux populations locales. Sur les 442 séquences ADN, quelques-unes seulement proviennent d'Ecosse et d'Irlande. Les Vikings, pas tous blancs ? Je ne savais pas, qu'à cette époque, l'Irlande et l'Ecosse se situaient en Afrique. Ce concert médiatique révèle surtout une chose très importante : quand un scientifique parle de diversité cela n'a pas le même sens pour un journaliste quand celui-ci parle de diversité. Et puis, ce n'est pas le premier mensonges auquel nous sommes confronté. Cheikh Anta Diop prétendait déjà que les égyptiens étaient noirs alors que l'on sait aujourd'hui que le génome des égyptiens de l'antiquité est plus proche d'un européen du sud que d'un centre-africain.
Ces torchons sur lesquels écrivent nos journalistes ne font qu'alimenter un processus d'aliénation et d'appropriation culturelle. Et nous devons mettre un terme à ce processus afin de protéger notre Civilisation Européenne et notre identité.